Fender Hot Rod Deluxe: Notre Avis

Même avec des bobines simples, le premier canal de la Hot Rod Deluxe n’offre pas beaucoup « clean headroom ». Grâce à la réduction du potard de volume, il semble que le contrôle soit plus fin qu’avec les Hot Rod précédents. Il est beaucoup plus facile de trouver le point idéal où vous pouvez déterminer la quantité d’overdrive en jouant uniquement avec l’intensité. Cela se produit entre trois et quatre sur le cadran.

Augmentez-le jusqu’à environ cinq et le Deluxe commence à devenir plus crémeux et entre six et sept, vous êtes dans une overdrive assez lourde. Tout va bien jusqu’à environ huit, au-delà duquel une distorsion irrégulière et légèrement granuleuse commence à se manifester. À des niveaux de volume plus élevés, les choses s’améliorent quelque peu lorsque le commutateur bright est désengagé et que les médiums sont renforcés. Si les réglages de la commande de tonalité sont corrects, avec une forte injection de médiums et le commutateur de luminosité désactivé, la Hot Rod Deluxe peut sonner de manière inattendue.

Le canal 2 est entièrement consacré à la distorsion. En dessous de deux sur le contrôle de drive, l’overdrive est modéré, mais il y a un saut soudain vers le heavy drive et la saturation augmente assez doucement au-dessus de ce point. Vers le maximum, la HR Deluxe génère des niveaux de crunch et de sustain dignes du métal.

Néanmoins, il y a un commutateur pour plus de drive. Comme le commutateur est doublé sur la pédale de commande, il est prévu comme un boost pour le solo plutôt que comme un bouton over the top.